Pourquoi tant d’images générées par IA semblent uniformes ? N’avez-vous jamais eu la sensation, face à une galerie d’illustrations promptées, qu’elles partagent cette touche indéfinissable, ce parfum de déjà-vu ?
Sur squid-impact, cela fait un moment que j’ai pris la décision d’agrémenter les articles d’images générées par Midjourney. Autrefois, j’utilisais les banques d’images libres de droit comme Unsplash mais sincèrement, il était parfois compliqué de trouver une image qui illustre parfaitement mon idée et corresponde à ma charte graphique.
Aujourd’hui, je crée mes images avec Midjourney, selon mes critères de charte graphique et selon le style éditorial que j’apprécie. On aime ou pas, mais c’est un choix qui tranche et qui s’impose visuellement.
Alors que les outils d’IA générative n’ont jamais été aussi puissants, la différence ne se joue plus sur l’accès à la technologie… mais sur la capacité à écrire le prompt juste. Celui qui révèle votre intention, votre style, votre singularité.
Vraiment, tout part de la façon de formuler vos demandes. Mon expérience m’a convaincu d’une chose : l’imagination a besoin de rigueur.
C’est cette alliance, subtile et passionnante, que je souhaite vous transmettre. Voici comment, grâce à quelques principes et une vision renouvelée, vous pouvez transformer vos prompts IA en moteurs de créations visuelles inédites, à la hauteur de votre ambition.
Comprendre le fonctionnement de Midjourney : au-delà de la magie visuelle
Avant de vouloir maîtriser l’art du prompt, il convient de saisir le mécanisme qui se cache derrière l’IA générative d’images. Si les interfaces sont devenues très intuitives, la logique en jeu reste exigeante.
Midjourney interprète vos mots pour tenter d’en déduire les visualisations les plus fidèles possibles. C’est une sorte de traducteur entre votre univers mental et un monde de pixels.
Derrière la simplicité apparente, la précision linguistique est devenue une compétence clé. En 2025, l’IA créative est gourmande de détails, d’indications, d’ambiguïtés levées.
Ce que beaucoup de créateurs oublient : l’imprécision ne produit pas du “mystère”, mais bien du banal. Plus un prompt est générique, plus l’IA va se reposer sur son socle statistique – c’est-à-dire reproduire des images “dans la norme”, là où l’originalité se dilue inexorablement.
L’enjeu : structurer sa demande, affirmer un point de vue, et piloter Midjourney comme un directeur artistique mènerait son équipe.
Vous l’aurez donc compris : la clarté et le soin apportés à la rédaction de vos prompts sont proportionnels à la qualité et à la personnalité des visuels générés.
Décomposer la recette d’un prompt efficace : la structure qui change tout
Souvent, ceux qui débutent avec Midjourney échouent… faute de méthode. Trop d’informations, ou pas assez. Pas d’ordre, ou pas d’intention claire. Pour bâtir un prompt qui transcende l’ordinaire, il existe une structure éprouvée, à appliquer, affiner, puis, pourquoi pas, transgresser.
Voici les cinq “piliers” d’un prompt puissant :
| Élément | Pourquoi c’est essentiel | Exemples concrets |
|---|---|---|
| Sujet principal | Pour donner le point focal, l’objet ou la scène clé | “une vieille bibliothèque victorienne” |
| Style artistique/médium | Pour cadrer l’univers visuel et l’époque | “aquarelle”, “style cyberpunk”, “inspiration surréaliste” |
| Composition/perspective | Pour structurer la scène, guider l’œil | “vue de dessus”, “gros plan sur le visage”, “en plongée” |
| Lumière/ambiance | Pour installer une émotion ou une température visuelle | “lumière dorée du matin”, “atmosphère brumeuse” |
| Détails et raffinements | Pour personnaliser ou enrichir, donner de la texture | type d’appareil photo / objectif, technique graphique, etc |
Un prompt bien assemblé n’a rien d’une formule magique : c’est une mini-histoire. Midjourney fonctionne mieux en anglais. ChatGPT s’accommode très bien de la langue de Molière. Quelques exemples :
dystopian cityscape where people’s deepest guilts are displayed on massive holographic billboards in the streets, dark and eerie atmosphere, neon lights contrasting with shadows, futuristic yet decayed architecture, emotional and haunting mood, cinematic style, 16k resolution, wide-angle lens

a powerful boxer training alone in a boxing ring, throwing fast punches, intense motion blur, glowing light trails emphasizing speed, cinematic lighting, stadium spotlights in the background, moody atmosphere, dark background, high contrast, ultra dynamic composition

Parfois la simplicité s’impose :
ultra realistic portrait photography of a man with closed eyes, on a white background

Editorial shot of three young happy workers taking coffee in front of camera, openspace, in the style of fujifilm superia x - tra 800, pensive portraiture, wellness, orange and emerald, american barbizon school, bokeh, ethereal horror, masculine portraiture

a woman in a white posing on the beach, in the style of bold graphics, light orange and light indigo, kodak gold, poolcore, blink-and-you-miss-it detail, monumental style, logo

Et si vous faites le test, vous verrez tout de suite : plus votre prompt raconte et oriente, plus l’image qui en découle s’éloigne de l’ordinaire.
Techniques avancées pour décupler la puissance de vos prompts Midjourney
La plupart des utilisateurs s’arrêtent à la surface : un sujet, un style, quelques couleurs. Mais la force d’un prompt exceptionnel naît dans la nuance, la capacité à préciser et subtiliser votre vision. Voici quelques techniques pour enrichir considérablement vos créations.
L’art du détail lexical
Si vous souhaitez que vos images soient marquantes, jouez avec les adjectifs (“sombre”, “futuriste”, “texturé”), les adverbes (“subtilement”, “intensément”, “mollement”), mais aussi avec la syntaxe (“une scène baignée de lumière, où doucement la brume enveloppe une maison isolée…”).
Osez dépasser la simple juxtaposition : liez les effets, introduisez de la progression (“des ombres qui se fondent lentement dans une lumière aurorale”).
ultra realistic shot of a girl wearing white gown and slit, in the style of use of precious materials, neo-pop iconography, made of beads and yarn, streaked, ornamental details and embellishments, intricate details, on the top of a volcano, beautiful landscape in background, dramatic sky, pop inspo, celebrity and pop culture references, 8k, uhd.

Puisez dans la richesse culturelle et artistique
Faites référence à des œuvres, des mouvements, des artistes : “dans le style des affiches Art Nouveau”, “rappelant le clair-obscur de Rembrandt”, “à la manière d’un storyboard de cinéma muet”. L’intelligence artificielle générative d’aujourd’hui est alimentée d’énormes corpus : plus vos références sont précises, plus l’IA peut s’en inspirer.
the cover of birthday party, in the style of bert stern, floralpunk, irving penn, peter kemp, pink, teethcore, bulbous

Structurez comme un cinéaste ou un photographe
Pensez angulation (“plan américain”, “vue à 360°”, “gros plan sur l’objet”), profondeur de champ, mouvement, juxtaposition des couleurs – toutes ces indications orientent la composition de manière déterminante.
Shoot a Wong Kar Wai-inspired photo of a person's head in a mirror, featuring multi-panel compositions, playful color combinations like orange and azure, and reflections of the same person at different ages. Use intentional camera movement and asymmetrical framing to create a visually captivating scene. Shot with a Nikon D850 and a NIKKOR 24-70mm f/2.8G lens.

Attachez-vous à la lumière et à l’ambiance
La lumière module l’émotion : “lumière rasante”, “contre-jour estival”, “halo vaporeux”, “faibles néons blafards”. N’hésitez pas à coupler plusieurs sources ou effets (“ambiance nocturne, éclairée par la lumière d’un réverbère et la lueur des écrans”).
a woman with red hair and heels posing in a pink room, in the style of light black and dark amber, film/video, poolcore, photo, heatwave, stockphoto, whirly

Conseils professionnels pour sortir du lot
- Combinez rareté (“un oiseau mythique, à la fourrure d’émeraude, dans une forêt surgie d’un rêve lucide”).
- Jouez avec des dualités (“un ciel joyeusement orageux”, “une tristesse saturée de couleurs vives”).
- Ne craignez ni la longueur, ni la complexité, si elle apporte de la richesse. Préférez l’explicite à l’allusif : l’IA, même avancée, ne lit pas (encore) entre vos lignes.
lisa jacobs and stephen laurel for vogue magazine, in the style of greg olsen, piero della francesca, kathryn morris trotter, associated press photo, feminine body, crumpled, streaked

Oser l’originalité : dépasser la standardisation algorithmique
Ce sujet me tient à cœur : rien n’est plus frustrant que de voir les pipelines d’images générées par IA produire des milliers de visuels interchangeables.
Or, cette homogénéité tient bien souvent à l’emploi de descriptions superficielles. À trop vouloir “optimiser”, on finit par alimenter le médian.
Comment casser ce moule ? D’abord, en osant injecter dans vos prompts ce qui vous rend singulier : une anecdote, une émotion brute, une image mentale difficile à décrire. Ceci fonctionne davantage avec le nouveau moteur d’images de ChatGPT que sur Midjourney qui a besoin de plus de précision et concision.
Ne craignez pas l’excès d’originalité ou la référence obscure. Plus un mot, une expression, une tournure sort de l’ordinaire, plus l’IA est “forcée” de produire quelque chose d’inédit.
Quelques stratégies pour regagner singularité et impact :
- Utilisez des concepts inattendus : « une horloge qui pleure, sur le rebord d’une fenêtre fractale ».
- Ajoutez du paradoxe ou de l’humour : « un chat en costard cravate, président d’un conseil d’administration de robots ».
- Jouez la carte du détail absurde ou hyperréaliste : « des gouttes de pluie suspendues, reflétant dans chaque perle une scène miniature de marché animé ».
À retenir : La rareté sémantique (choix de mots ou de combinaisons peu fréquentes) force l’IA créative à sortir des sentiers battus.
Les erreurs courantes à éviter
❌ Se contenter d’une phrase factuelle, sans ton ni contexte.
❌ Accumuler les styles (“art déco + manga + expressionniste”) sans cohérence.
❌ Négliger la temporalité ou la perspective (“un paysage”, sans préciser d’où il est vu).
❌ Rester flou sur les émotions voulues (“ambiance sympa”, “décor cool”).
Itération et raffinement : la méthode scientifique appliquée au prompt IA
Le premier prompt n’est jamais le bon, aussi éloquent soit-il. C’est le principe même de la création : tester, observer, ajuster, recommencer.
Pourquoi il ne faut jamais se contenter du premier essai
Chaque génération d’image avec l’IA est un prototype. Elle doit susciter le retour critique : la lumière est-elle comme je l’imaginais ? Le style correspond-il à celui d’un illustrateur ? Manque-t-il un détail crucial ?
À chaque prompt, demandez-vous :
- Qu’est-ce qui fonctionne vraiment dans le résultat ?
- Où l’image trahit-elle mon intention ?
- Suis-je trop flou… ou trop chargé d’infos ?
Mesurer, ajuster, documenter : le carnet de bord du prompt
J’encourage toujours à conserver une trace de vos différentes versions. Notez ce que chaque modification apporte (ou retire). Testez des variantes plus longues ou resserrées. Souvent, une reformulation qui paraissait mineure change tout.
Exemples pratiques
Imaginez une même demande :
- “Un dragon sur une montagne.”
- “Un dragon d’ébène, ailes translucides parcourues de lueurs électroluminescentes, perché au sommet d’une montagne acérée au crépuscule, atmosphère de légende nordique, perspective oblique dramatique.”
Après génération, repérez les points à affiner : la couleur des écailles ? La forme des montagnes ? L’incidence de la lumière ? Ajustez, regénérez, analysez.
Testez aussi des approches minimalistes : parfois, un prompt épuré (mais solide dans les fondamentaux) fonctionne encore mieux.
Cas pratiques à décortiquer : 10 prompts, de l’ordinaire à l’exceptionnel
Pour rendre tout cela concret, voici dix exemples, analysés pour comprendre ce qui fait la différence entre un prompt “lambda” et un prompt “signature”.
Sujet baseline : “A cat in a living room.”
Prompt enrichi : “A Chartreux cat with copper eyes, lying on a timeworn Persian rug, winter sunlight filtering through the window, hushed atmosphere, in the style of Edward Hopper.”

Sujet baseline : “An enchanted forest.”
Prompt enrichi : “Misty dawn forest, ancient trees with glowing trunks, silver vines hanging down, soft light filtering through the canopy, Miyazaki-inspired, detailed watercolor textures.”
Sujet baseline : “A robot in a city.”
Prompt enrichi : “Vintage humanoid robot with a patinated copper shell, walking through a neon-soaked neo-Tokyo alley, light rain, pink reflections on the ground, cinematic composition, homage to Blade Runner.”
Sujet baseline : “A portrait of a woman.”
Prompt enrichi : “Portrait of an Andalusian woman with an intense gaze, crimson headscarf, low afternoon light, early 19th-century oil painting style, with touches of emotional realism.”

Sujet baseline : “A mountain landscape.”
Prompt enrichi : “Majestic Alpine range, snow-capped peaks against a mauve-shadowed sky, morning mist drifting above a shimmering lake, panoramic perspective, grainy textures.”
Sujet baseline : “A knight in battle.”
Prompt enrichi : “Medieval knight in worn armor, astride a gaunt warhorse, moonlit battle, thrown weapons glinting in the background, grim atmosphere – dark comic book style with raw inking.”
Sujet baseline : “A meal on a table.”
Prompt enrichi : “Rustic wooden farmhouse table, ivory tablecloth, steaming loaves of bread, golden-crusted cheeses, wildflower bouquet centerpiece, morning light, hyperrealistic rendering.”
Sujet baseline : “A futuristic building.”
Prompt enrichi : “Organic skyscraper with curved glass façades, holographic reflections interlacing beneath a stormy sky, urban park in the foreground, Zaha Hadid-inspired architecture.”
Sujet baseline : “A dancer on stage.”
Prompt enrichi : “Contemporary dancer mid-leap, airy costume, deep blue spotlight halo, minimalist stage, dust particles suspended in the air, captured in the style of a Cartier-Bresson photograph.”

Sujet baseline : “A traditional market.”
Prompt enrichi : “Bustling Provençal market, stalls overflowing with colorful fruits, red-tiled rooftops, diverse crowd, harsh summer light, child’s-eye perspective, soundscape hinted at by distant shouts.”
Pour chacun, le détail, la perspective, l’intention stylistique composent une image qui porte votre signature visuelle.
“Le truc” à retenir
À chaque prompt : Qu’ajouter pour que personne d’autre n’obtienne la même image ? Est-ce le détail, le style, la réminiscence ? La réponse est souvent incarnée dans la précision et l’audace.
Maîtriser les paramètres Midjourney V7
On confond souvent beau prompt et beau résultat. En réalité, le prompt dirige, mais les paramètres sculptent. Ce sont eux qui imposent une signature, cassent l’uniformité et te donnent un contrôle fin sur la composition, l’énergie et la cohérence de toute une série d’images.
Les incontournables (à dompter en premier)
--ar(aspect ratio)
Le ratio est une intention graphique. 1:1 pour l’icône, 3:2 pour le documentaire, 16:9 pour l’éditorial/couverture.
Astuce : définis un ratio “maître” par série d’images pour une unité visuelle immédiate.--stylize(ou--s)
Dosage du “goût” esthétique appris par le modèle.
Plus c’est haut, plus Midjourney impose sa patte (textures/compositions “artistiques”) ; plus c’est bas, plus il suit à la lettre ton prompt.
Repères utiles :
• s=50–150 : obéissant, précis.
• s=300–700 : éditorial équilibré.
• s>1000 : geste très marqué (à tester pour des “pièces” fortes).
Réflexe : baisse--stylizequand tu veux sortir du cliché et préserver ta singularité.--chaos
Variabilité des premières idées explorées.
• 0–10 : résultats réguliers et prévisibles.
• 30–60 : alternatives créatives sans partir en vrille.
• >70 : expérimentation, accidents heureux (ou ratés — fais-le exprès).
Usage expert : lance une première passe à chaos élevé pour “échapper à la moyenne”, puis resserre pour itérer.--seed
Fige le hasard. Même prompt + même seed = base similaire, utile pour sérialiser un style.
Workflow : trouve une image “pivot”, récupère sa seed, puis décline en micro-variantes (lumière, angle, détail).--stop
Interrompt le rendu plus tôt (ex.--stop 60).
Résultat : moins de détails, plus de grain/forme, parfois plus éditorial. Idéal pour échapper à la “perfection midjourney-esque”.
Les réglages de caractère (pour casser l’uniformité)
--weird(expérimental selon modèles)
Injecte de l’étrangeté contrôlée (formes, associations). Montée progressive recommandée.
Règle d’or : combine weird modéré + stylize bas pour des trouvailles lisibles, pas grotesques.--style(préréglages de tempérament, quand disponibles)
Certains modèles proposent des styles internes (p. ex. raw).
• raw : rendu plus “documentaire”, moins décoratif.
Réflexe : pars en raw quand tu veux une obéissance stricte à ta direction artistique.--quality(ou--q)
Temps/ressources par image.
• q=1 par défaut (équilibre).
• q<1 pour explorer vite ; q>1 pour finaliser des textures délicates.
Bon sens : ne monte pas la qualité si la direction n’est pas encore validée.
D’autres leviers pour votre DA
- Image prompts +
--iw
Injecte une ou plusieurs images de référence (URL/attachments) et règle--iw(poids de l’image).
• iw bas (0.2–0.5) : l’image inspire sans dominer.
• iw élevé (0.8–1.5) : la référence impose la composition.
Signature de marque : recycle tes propres images (textures, motifs, éclairages) pour bâtir un vocabulaire visuel non copiable. - Négations
--no
Coupe net les clichés :--no text, watermark, logo, extra limbs, busy background.
Réflexe Squid Impact :--no color except one subtle accent(et tu décris l’orange-rosé au lieu de juste mettre un hex).
Les paramètres de série (penser “collection”, pas image isolée)
- Cohérence : fixe d’abord
--ar,--style/raw,--stylize(fourchette), et un set de seeds. - Exploration maîtrisée : joue
--chaosen première passe, puis reviens à bas chaos + seed fixe pour décliner. - Variations dirigées : utilise les multiprompts pour changer un seul axe (lumière, angle, texture) à la fois.
Réglages « signature » (modèle à adapter à ta charte)
- Couvertures :
--ar 16:9 --stylize 250 --chaos 25 --stop 85 --style raw
(graphisme fort, éditorial, peu de sur-décor) - Images internes “poétiques” :
--ar 3:2 --stylize 120 --chaos 35 --weird 20 --stop 70 - Séries très cohérentes :
--ar 3:2 --stylize 80 --chaos 5 --seed <pivot>
(puis variations par multiprompts, pas par surcouche de style)
Micro‑process pour sortir du lot (rapide et efficace)
- Esquisse —
s=100–150,chaos=40–60,stop=70. Tu cherches des directions, pas une “belle image”. - Sélection — garde 1–2 pistes, récupère seed.
- Resserre — baisse
chaos, ajustestylize, impose--nociblés. - Affinage — variation par multiprompts (lumière/angle/matière), teste
--weirdpar paliers. - Final — monte
--qualitysi besoin, rehausse/abaisse légèrement--stylizepour la touche finale.
Il est essentiel de ne pas seulement Midjourney s’exprimer : il faut le diriger. Les paramètres ne sont pas des épices aléatoires ; ce sont des contraintes créatives. Et la contrainte, bien choisie, est l’alliée la plus sûre de l’originalité.
Osez devenir l’architecte de votre univers visuel
Les outils d’IA générative n’ont jamais autant facilité la créativité individuelle. Mais seul un prompt abouti vous permet de passer du statut d’utilisateur à celui de constructeur d’imaginaires.
L’intelligence artificielle, en 2025, n’est plus une baguette magique : c’est votre partenaire de jeu, exigeant et fascinant, qui attend que vous lui racontiez la plus belle des histoires.
Posez-vous cette question, la prochaine fois que vous allez écrire un prompt : et si l’audace, la précision et la sensibilité étaient la vraie différence ? N’ayez pas peur d’oser, de reformuler, de partager, de vous tromper… Seuls ceux qui sortent des sentiers battus marquent vraiment les esprits.
À très bientôt sur LinkedIn pour poursuivre ensemble cette exploration des imaginaires numériques et du content marketing augmenté par l’IA.

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