Bonne année ! Nous faisons le point sur les actualités digitales qui ont marqué cette première semaine 2023 dans le monde du numérique.
YouTube Music et Premium s’offrent 30 millions d’abonnés
Des millions d’utilisateurs se sont rués sur les offres payantes Music et Premium de YouTube en seulement un an. Cependant, 115 millions, c’est le nombre d’abonnés qui manquent à YouTube Music pour enfin égaler Spotify.
Si le nombre d’abonnés aux services Youtube Music n’était que de 50 millions en septembre 2021, les récentes statistiques estiment qu’il s’élève à 80 millions actuellement. Et avec 30M de plus au court de ces derniers mois : Lyor Cohen, responsable mondial de la musique chez YouTube, a confirmé qu’« il s’agit d’une augmentation de 30 millions de membres par rapport aux 50 millions annoncés l’année dernière ».
ChatGPT : Microsoft pourrait intégrer ce fameux chatbot IA sur son moteur de recherche
ChatGPT qu’est-ce que c’est ? C’est un modèle de langage entraîné par OpenAI qui est capable de générer du texte à la demande en utilisant une intelligence artificielle de pointe.
Aux dernières nouvelles, Microsoft pourrait prochainement intégrer ce ChatGPT à son moteur de recherche Bing. Le but ? fournir des réponses écrites, naturelles et détaillées aux requêtes des utilisateurs, plutôt que de les renvoyer vers une liste de liens annexes. L’objectif final : améliorer nettement l’expérience utilisateur !
Ce serait une très bonne opportunité pour Bing et qui sait, donner un second souffle au moteur de recherche.
Faux avis sur Internet : lutter contre les abus et améliorer la confiance utilisateur
L’État va mettre en place Polygraphe, un nouvel outil qui permettra de mieux détecter les professionnels qui diffusent de faux avis sur certaines plateformes web. “Les faux avis trompent les consommateurs qui tiennent compte des commentaires laissés en ligne pour guider leur acte d’achat. Ils nuisent également aux professionnels vertueux.”
Concrètement, quelles sont les fonctionnalités de Polygraphe :
- Récupérer des données pertinentes sur des sites web qui proposent des avis de consommateurs
- Analyser des données extraites pour identifier les commentaires suspects
- Visualiser des résultats sous forme d’une interface
Le coût de développement du projet a été évalué en 2019 à la hauteur de 300 000 € sur une période de deux ans.