Les types de contenus
Dans le linkbaiting, on distingue généralement deux types de contenus : les contenus statiques et les contenus dynamiques.
Les contenus statiques : L’idée ici est de collecter des informations existantes et de les ranger de manière très structurée. Un bon exemple est celui de Backlinko, qui publie chaque année un guide mis à jour sur les dernières statistiques en SEO. “Au-delà de ranker sur Google et de montrer à ce dernier que vous sourcez avec des statistiques vos écrits, vous pouvez attirer via des requêtes informationnelles, des journalistes en quête de chiffres sur un sujet. Ainsi, vous devenez une source d’informations solide, basée sur de la veille de statistiques. Imaginez que vous soyez un expert de votre niche, et il vous reste plus qu’à poser votre verbatim sur les statistiques du secteur pour chercher une interview dans un média. Ici, on cherche à ranker pour attirer, c’est statique.“, explique Emmanuel.
Les contenus dynamiques : Ce type de contenu a un potentiel de viralité bien plus élevé, mais il est plus exigeant à mettre en place. Il est basé sur du contenu cette fois 100% original, dont vous êtes propriétaires. Les sondages en ligne, les outils interactifs comme les calculateurs ou les quiz, permettent d’attirer non seulement les journalistes, mais aussi les utilisateurs qui partagent leur expérience en ligne. Emmanuel a ainsi créé des outils de comparaison des prix de carburant en utilisant l’Open Data. “Ce type de contenu est interactif, ce qui permet aux utilisateurs de personnaliser leur expérience et de revenir pour de nouvelles mises à jour“, souligne-t-il.
L’Open Data pour des contenus à forte valeur ajoutée
Les Open Data, ou données ouvertes, sont des ensembles d’informations publiques mises à disposition par des gouvernements ou des institutions. Ces données peuvent être utilisées pour créer des contenus intéressants et fiables, qui auront un impact fort sur les journalistes et les utilisateurs.