Sans chiffre d’affaires significatif au premier semestre 2025 et malgré une baisse des dépenses opérationnelles, Valbiotis a vu sa perte opérationnelle se creuser à -4,67 ME. Les frais commerciaux et de marketing ont notamment augmenté de 47,3%, à 2,57 ME, du fait de la mise en place de la force de vente, des investissements en marketing digital, des outils à la vente et de la communication médias et grand public. Ces frais représentent ainsi sur la période 54% des dépenses opérationnelles (hors charges liées au paiement en actions), contre 24% un an plus tôt. Le résultat net semestriel ressort en perte de 4,59 ME à, contre une perte de 3,5 ME sur le premier semestre 2024.
Au 30 juin 2025, Valbiotis disposait ainsi d’une trésorerie de 13,2 ME, permettant à la société de disposer d’une visibilité financière jusqu’au quatrième trimestre 2026, selon des hypothèses de cash-flow opérationnels n’intégrant, par prudence, aucun revenu provenant d’accords potentiels à l’international.
“Au cours des six premiers mois de l’année, Valbiotis a respecté son calendrier soutenu de lancements commerciaux en France. Au second semestre, nous accélérons notre déploiement grâce à un ciblage renforcé de notre force de vente en officines, une accélération en e-commerce et une intensification de nos investissements marketing, rendue possible par le succès de l’augmentation de capital finalisée fin juin. Parallèlement, à l’international, les discussions s’intensifient avec plusieurs partenaires régionaux potentiels. Valbiotis est ainsi en mesure de renouveler avec confiance l’ensemble de ses ambitions financières à court et moyen terme”, commente Sébastien Peltier, Président et co-fondateur de Valbiotis.
À l’issue de ce premier semestre, Valbiotis demeure confiant dans sa capacité à générer des premiers revenus commerciaux significatifs sur l’ensemble de l’exercice et renouvelle son ambition d’atteindre, en 2027, un premier palier de chiffre d’affaires d’au moins 25 ME, adossé à un EBITDA positif sur le périmètre français. Ces objectifs sont susceptibles d’être révisés en hausse en fonction des revenus qui pourraient être générés par les partenariats à l’international.